Union pour bâtir la prospérité – United builders of prosperity


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Inciter à bouger… socio-économiquement

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Pixabay.com!

Nous observons (depuis le début de nos œuvres en 2007) un nombre important de gens éprouvant des difficultés socio-économiques qui attribuent leur situation à ces facteurs:

  • Les programmes en place sont complexes, compliqués et difficilement applicables à leur situation.
  • L’œuf et la poule: il est difficile de chercher des ressources lorsqu’on dispose de peu de ressources.
  • La marche est haute: l’aide offerte est souvent assortie de conditions difficiles à rencontrer.
  • La fatigue engendrée par la situation sape l’énergie pour s’en sortir.
  • L’aide caritative et/ou publique crée la dépendance: ce n’est ni rentable, ni faisable de faire le saut vers un revenu autonome. Le coût est tel que ça n’en vaut pas le risque.
  • Les aidants considèrent les gens éprouvés socio-économiquement comme des gens qui se complaisent dans cette situation. Nombreux sont ceux qui ne souhaitent qu’une occasion accessible et rentable de réintégrer l’autonomie menant à la prospérité.

Le programme Union pour bâtir la prospérité (UBP) constitue pour ces gens une occasion accessible, facilement conciliable avec un contexte de vie éprouvé et rentable. Le stage-mentorat est une immersion dans le mouvement socio-économique réel. L’expérience est aussi motivante : les participants prennent part activement à la construction de leur prospérité et constatent en temps réel la progression de leur cheminement vers la réussite. Entourés de gens prospères qui témoignent de leur bonheur de récolter les fruits de leur accomplissement, les mentorés sont inspirés à acquérir les aptitudes et les techniques pour contribuer à leur essor et, par le fait même, à celui de la collectivité.

Bienvenue à la discussion sur le sujet le 21 juillet à 17 h 30: en personne au Tweetup pour bâtir la prospérité et/ou sur Twitter à #tubp


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Victime ou gagnant

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Photo: Waska.org

À Sainte-Foy, la période des fêtes 1981 inspire un groupe d’élèves du pavillon Technique du Campus 1 (aujourd’hui le CFP Marie-Rollet) à embrasser les œuvres humanitaires.

Dans le cadre des activités de pastorale, les élèves participent à la parade au profit de la recherche sur la paralysie cérébrale puis organisent une collecte pour le panier de Noël des pauvres.

Célébrant Noël ensemble dans un chalet, le groupe entame une réflexion sur son accomplissement et sur les situations difficiles que vivent les gens.

Il est très gratifiant, observent les participants, de s’approprier le pouvoir d’améliorer la situation plutôt que de blâmer quelqu’un pour la misère qu’on vit, comme les victimes d’une injustice.

Les membres du groupe discutent de leurs propres problèmes:

  • L’apprentissage des techniques et des aptitudes nécessaires à la vie est difficile, inefficace et inadéquat.
  • L’expérience professionnelle est difficile et problématique.
  • La vie socio-économique et le bien-être individuel s’en retrouvent affectés négativement.

Beaucoup d’élèves comme eux, qui suivent une formation pour espérer décrocher un emploi qui permette de joindre les deux bouts, font face à des difficultés d’apprentissage, à la difficulté de se faire embaucher et à l’aventure de gagner un revenu suffisant pour couvrir les dépenses de la vie. À cela s’ajoute la détresse physique et morale qui s’ensuit.

Au local de pastorale du pavillon, en ce beau jour d’avril 1982, le groupe fonde le Club 3E (Équipe d’entraide expérience) pour trouver les solutions à ces problèmes et mettre en œuvre les moyens pour que:

  • l’apprentissage des techniques et des aptitudes nécessaires à la vie soit aisé, efficace et adéquat;
  • l’expérience professionnelle soit aisée, rentable et fonctionnelle;
  • la vie socio-économique et le bien-être individuel prospèrent.

Certains membres du groupe suivent à ce moment-là un cours de relations humaines qui influence grandement la façon dont la nouvelle association poursuit ses objectifs. Pendant des décennies, le petit Club 3-E grandit et prend de l’élan: le Mouvement Waska propulsera plusieurs associations et organismes sur cette lancée, dont Waska, autonomie et services techniques communautaires.


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Bénévole pour bâtir concrètement la prospérité

Merci à photo-libre.fr pour la belle photo!

Merci à photo-libre.fr pour la belle photo!

Voici votre occasion d’investir votre passion humanitaire dans la construction concrète de la prospérité!

Devenir bénévole au sein du conseil d’administration de l’entreprise d’économie sociale Waska, autonomie et services techniques communautaires (Waska.org), c’est avoir le pouvoir d’améliorer la situation socio-économique des individus d’une communauté et, par le fait même, celle de toute leur communauté. Et ce, de façon durable!

C’est investir quelques heures par mois (un minimum de deux) dans l’organisation d’œuvres humanitaires responsables et rentables, dont le résultat est immédiat et tangible.

L’entreprise, fondée à Québec en 2007 pour mener à bien les objectifs du Mouvement Waska initié en 1982, a pour mission «d’aider ses membres à acquérir l’autonomie, à se concerter, à partager et à s’entraider» pour bâtir leur prospérité et, bien entendu, celle de leur milieu.

Concrètement, Waska.org offre à ses membres des services qui répondent à leurs besoins. Par exemple, un individu acquiert, à travers le stage-mentorat, les techniques et les aptitudes nécessaires pour maîtriser son autonomie socio-économique, c’est-à-dire réussir à gagner sa vie confortablement et devenir un pilier de sa communauté. D’autres individus apprennent à travers le partenariat-mentorat à gérer une entreprise ou un organisme à buts non lucratifs de façon rentable.

Les accomplissements de l’entreprise ont un impact important sur la communauté. Par son travail sur la méthode expérientielle, elle contribue à éliminer les problèmes de décrochage scolaire, les difficultés d’apprentissage, le découragement professionnel, la pauvreté, la dépendance en général et tout ce qui ralentit l’essor socio-économique d’une communauté. Sa réussite repose sur l’emploi de moyens simples et efficaces.

Siéger au sein du conseil d’administration, c’est prendre le volant du meilleur véhicule pour mener le Québec au confort socio-économique durable.

Bienvenue dans l’équipe qui réussit!

Véronique Cazeault, présidente  v.cazeault@waska.org